Enlevement de 3 Espagnoles en Mauritanie !

Pour ceux n'ayant pas encore eu l'information

"Cela s’est passé, a-t-il dit, dimanche vers 19 H 30 ou 20 heures lorsque les trois espagnols membres d’une caravane humanitaire Accio Solidario ont été enlevé. « J’ai pris contact toute de suite avec les autorités mauritaniennes pour aider à libération des otages ; j’ai également insisté auprès des autorités mauritaniennes sur l’importance de préserver la vie des otages dans toutes les circonstances. J’ai reçu les assurances des autorités mauritaniennes avec lesquelles je suis en contact permanent que tout sera fait pour garantir le sauvetage des ressortissants espagnols enlevés et la sécurisation des autres membres de la Caravane ». J’ai aussi réitéré aux autorités mauritaniennes, les disponibilités du gouvernement espagnol qui a déjà mis à disposition tous les moyens de l’ambassade était aussi prêt à fournir une aide substantielle qui permettrait de sauver les otages espagnol».

Les autorités mauritaniennes auraient assuré l’ambassadeur espagnol de faire tout et si nécessaire envoyer d’autres renforts de secours. L’ambassadeur espagnol, qui souligne avoir souhaité un dénouement rapide et positif de cette prise d’otages, a encore révélé s’être entretenu avec le président de la République qui l’a rassuré sur l’importance pour la Mauritanie de la sécurité des citoyens espagnols indiquant que le Chef de l’Etat a insisté sur le fait que «c’est une affaire qui importe également aux mauritaniens ».

L’ambassadeur espagnol qui, par ailleurs, dit ne pas infirmer, ni confirmer les informations faisant état de la libération des otages, a réitéré que la principale préoccupation pour son pays est de sauvegarder la vie des otages espagnols. Il a encore souligné que les recherches se poursuivaient et que la coopération entre les deux gouvernements est de mise pour un dénouement heureux de cette affaire. « Nous ne pouvons donc dire plus » a-t-il conclu avant de répondre aux questions des journalistes.

L’affaire des trois espagnols membres de l’Ong catalane Accio Solidario, enlevés le 29 Novembre 2009, par des hommes armés, sur la route Nouadhibou-Nouakchott, continue d’accaparer l’attention des médias et de l’opinion publique en Mauritanie. Les espagnols, non plus, ne sont pas en reste comme en témoigne la présence massive des médias de ce pays arrivés au lendemain du rapt à Nouakchott.

Une rumeur persistante, mardi, au lendemain du kidnapping des membres de l’association espagnole, faisait état de la localisation et de l’encerclement des ravisseurs, dans la zone de Tigiritt, non loin du lieu du rapt lui-même. Dans un point de presse improvisé devant l’ambassade d’Espagne, quelques instants avant la conférence de presse du diplomate espagnol, les responsables de l’ONG Accio Solidario ont affirmé devoir poursuivre leur route, mercredi, en direction du Sénégal.

Dans une déclaration faite au Quotidien de Nouakchott, Josep Ramon Gimenez, indique que la Caravane humanitaire va poursuivre son chemin «exactement comme l’auraient souhaité les personnes enlevées ». «Nous restons en contact avec notre ambassadeur par téléphone pour être informés à la minute des développements de cette affaire ». Gimenez indique par ailleurs qu’il n’a aucun idée de l’objet de la convocation par l’ambassadeur que le groupe devrait rencontrer ultérieurement.

Compte-rendu JD

Enlèvement des humanitaires espagnols: Le président de la République dément la localisation des otages.

Si l’on en croit le quotidien espagnol, El Pais, le président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, aurait démenti les informations distillées par une certaine presse mauritanienne faisant état de la localisation des otages et de leurs ravisseurs. Dans une conférence de presse, à quelques heures d’une entrevue, avec le président de la République, l’ambassadeur d’Espagne avait indiqué que les autorités mauritaniennes lui avaient donné l’assurance que tout serait mis en action pour retrouver sains et saufs les ressortissantes espagnols enlevés dimanche par des hommes armés que l’on soupçonne d’être des éléments de la nébuleuse terroriste de Al Qaeda.

Pour autant aucune information sur l’identité des assaillants n’a été encore donnée. Par ailleurs, le Chef du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, interpelé à ce sujet, a appelé «à la prudence et à la discrétion » pour éviter de donner aux ravisseurs qui « écoutent » a-t-il dit, une quelconque information susceptible de leur profiter. Selon les mêmes sources, un avion espagnol de moyens de surveillance infra-rouge et un autre aéronef français, pourraient être mis à contribution dans les recherches des ravisseurs "

Infos RFI

http://www.rfi.fr/contenu/20091130-trois-humanitaires-espagnols-enleves-nord-nouakchott

info "CONTINENTAL NEWS" 03 12 2009 17H52

Le Polisario prend sa revanche de l’Espagne et soutient l’enlèvement des trois ressortissants espagnols en Mauritanie. Selon l’Agence France presse un ex cadre du Polisario dénommé Azouz est à l’origine de l’enlèvement des trois espagnols en Mauritanie.

Le Polisario a soutenu matériellement cette opération terroriste en guise de vengeance de l’Espagne qui a accepté d’accueillir Aminatou Haidar après avoir été refoulée de Laâyoune. D’après des sources fiables proches de l’enquête, l’investigation sur l’enlèvement le 29 Novembre des trois humanitaires sur la route Nouadhibou-Nouakchott tend à démontrer qu’un soutien opérationnel de membres du Front Polisario aurait été apporté à Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI).

Portant notamment sur le repérage des itinéraires des trois étrangers, ainsi que sur la transmission d’informations relatives à leur action en Mauritanie, le soutien de membres du Front Polisario à l’organisation terroriste AQMI devrait poser un grave problème d’image au mouvement, au moment où l’Algérie tente par tous les moyens de lui construire une crédibilité.


Depuis plusieurs semaines, l’on assistait de la part des autorités mauritaniennes à une intensification de la lutte contre AQMI, avec la multiplication d’arrestations et le renforcement de la coopération avec le Niger et le Mali. Il était donc techniquement difficile pour l’organisation terroriste d’organiser un enlèvement de cette ampleur sans utiliser une base logistique connaissant la région, et prête à s’allier avec les islamistes afin de diversifier ses sources de revenus.

En effet, selon la même source, une demande de rançon pourrait être formulée très rapidement par les ravisseurs, portant sur un échange de prisonniers et non sur du numéraire, ce qui tendrait à démontrer la fébrilité d’AQMI, ainsi que le virage mercantile pris par une frange du Front Polisario, qui était jusqu’alors spécialisée dans le trafic de marchandises et dans le transport de stupéfiants en connexion avec des groupes mafieux sud-américains.

Or, depuis plusieurs mois, la lutte contre le narcotrafic au Sahel a réduit la marge de manœuvre des terroristes et du Front Polisario, et il restait donc à conquérir l’ultime bastion de la criminalité : le Kidnapping d’étrangers.


De l’avis de plusieurs spécialistes, le virage pris par le terrorisme et la criminalité au sein de l’arc sahélien constitue un défi très important à relever, car la constitution d’une alliance « opportuniste » entre une frange du Front Polisario et AQMI pourrait constituer un cocktail extrêmement difficile à neutraliser, dans un contexte régional particulièrement complexe.

De surcroit, l’« alchimie » dans le nord ouest de la Mauritanie est tout à fait particulière, car des activistes mauritaniens au sein de la branche maghrébine d’Al Qaida côtoient de trafiquants du Polisario qui risquent de se radicaliser devant l’impasse qui leur est offerte par leur mouvement.


Le risque, à très court terme : que le front Polisario devienne les « FARC » du Maghreb, c'est-à-dire une organisation qui a recours aux enlèvements massifs d’étrangers, mutualisés (ou pas) avec AQMI, les uns répondant à une obligation «alimentaire», les autres obéissant à un impératif idéologique…

Dans les deux cas, c’est la stabilité du Maghreb et du monde qui est perdante. Ce ne serait pas là la première fois que le front Polisario s’allie avec AQMI. Le 6 Juin 2005, lors de l’attaque contre la base militaire de Lemgheity, la participation d’un membre du Front Polisario, Mouawiya Ould Lamine Loubeid (décédé depuis) a été établie par l’équipe chargée de l’enquête.

Todos son hijos de la gràn de puta

Laurent, va falloir établir le plan B à défaut ....

Hé oui un mauvais film qui repasse deux années plus tard

J'y travail Le Dom

C'est vrai, ça commence à être pénible les redifs

Ouais en plus j'aime pas aller au cinéma .... pour voir des navets alors nous allons certainement passer par Ourzzazate pour aller au studios

Bon je part

Du nouveau

WANTED


La police mauritanienne recherche activement un certain Abdoul Maïnassara, chef du gang qui vient de prendre en otage les 3 espagnols.

Selon des sources sécuritaires, Maïnassara avait tissé des relations étroites avec un groupe d’Alqaïda au cours de ses fréquents déplacements entre le Mali et le Niger pour vendre du poisson séché dans la zone, mais surtout au Niger.

Il semble que Maïnassara séjournait fréquemment en Mauritanie dans le cadre de ses activités commerciales et aurait pu recruter des agents pour exécuter sa sale besogne. Selon des sources policières à Nouakchott, Abdoul Maïnassara était accompagné de deux nigériens et d’un guinéen lors du rapt de la semaine écoulée.

Laurent a écrit:nous allons certainement passer par Ourzzazate

Ben si tu vas Ouar zezette, passe lui le bonjour

C'est bon, je sors, d'ailleurs je suis déjà loin

Par Mohamed Yahya Ould Abdel Wedoud pour Magharebia à Nouakchott le 04 12 2009 10h04



Des sources de sécurité estiment que les trois Espagnols enlevés la semaine dernière en Mauritanie pourraient se trouver dans les camps d'AQMI dans le nord du Mali.

Les trois travailleurs humanitaires espagnols enlevés le 29 novembre en Mauritanie pourraient avoir été sortis du pays, et cette affaire pourrait avoir porté un coup aux possibilités de négociations entre les salafistes emprisonnés et le gouvernement.

Ces travailleurs humanitaires ont été enlevés par trois mercenaires étrangers travaillant pour le compte de l'organisation al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) et ne se trouvent "plus sur le territoire mauritanien", a déclaré mercredi à Magharebia une source proche des forces de sécurité mauritaniennes, sous couvert de l'anonymat.


Les victimes, Albert Vilalta, Alicia Gámez et Roque Pascual, pourraient être détenus dans les camps d'AQMI dans le nord du Mali, a ajouté cette source.

Le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a limogé mercredi le directeur de la police nationale, responsable de la sécurité sur la route près de la ville de Nouadhibou, dans le nord du pays, où a eu lieu cet enlèvement.

Les trois victimes, toutes employées par l'ONG barcelonaise Accio Solidaria, se trouvaient à l'arrière d'un convoi humanitaire composé de treize véhicules lorsque celui-ci a été arrêté par des hommes masqués qui ont ouvert le feu depuis leur Land Rover.

"J'ai entendu mes collègues qui se trouvaient dans l'un des véhicules, et je parlais avec Roque Pascual, qui s'est exclamé 'Soldats … soldats ... mitraillettes … mitraillettes !'", a expliqué l'un des membres de ce convoi à l'agence Reuters après cette attaque. "Nous avons retrouvé le véhicule, mais sans ses passagers, et leur argent et tous leurs effets personnels étaient toujours là."

Depuis cet enlèvement, la Mauritanie "a pris toutes les mesures et les précautions nécessaires pour répondre à cette crise de la manière qui convient", a déclaré l'ambassadeur d'Espagne en Mauritanie, Alonso Dezcallar, lors d'une conférence de presse mardi à Nouakchott. "De plus, les autorités espagnoles sont satisfaites de... la manière dont Nouakchott gère cette crise, notamment pour assurer la sécurité des otages".

A la suite de cet enlèvement, la Mauritanie a déclaré l'état d'alerte maximum et envoyé des unités antiterroristes à ses frontières désertiques pour tenter de boucler toutes les issues pour les ravisseurs. Les frontières avec le Mali, l'Algérie et le Maroc ont été fermées.

Ces enlèvements interviennent alors que les autorités mauritaniennes envisageaient d'avoir des entretiens avec des prisonniers salafistes.

La semaine dernière, le ministre de la Justice Maître Baha Ould Ameida et le chef de la Garde nationale Maskar Ould Sayyid s'étaient rendus dans une prison de Nouakchott pour y rencontrer les leaders salafistes. Cette prison accueille Khedime Ould Semane, Marouv Ould Heibe, Sidi Ould Sidine, et plus de soixante-dix autres détenus présumés appartenir à un mouvement salafiste fondé au milieu des années 1990.

Les salafistes mauritaniens utilisaient des vidéos d'Oussama ben Laden et des enregistrements de combattants afghans et tchétchènes comme points de référence idéologique. Certains éléments de cette mouvance avaient rejoint le Groupe salafiste pour le prêche et le combat (GSPC) en Algérie lorsque celui-ci avait aligné ses positions sur celles d'al-Qaida fin 2006, montant des attaques depuis leurs repères dans le désert malien et algérien qui ont tué des dizaines de soldats et quatre touristes français.

Un groupe de prisonniers salafistes avait récemment appelé au dialogue, affirmant leur rejet de la violence et leur désir de contribuer à "l'instauration de la paix et de la sécurité à l'intérieur comme à l'extérieur du pays". Ce groupe avait demandé aux autorités de leur pardonner et d'ouvrir des négociations visant à "résoudre la question salafiste". Le 23 novembre, vingt-cinq prisonniers avaient publié un document signé appelant à la fin de la violence et déclaré leur retrait du mouvement salafiste.

Mohammed Ould Ahmed, l'un des prisonniers et l'une des figures importantes du salafisme en Mauritanie, avait souligné la nécessité de "mettre un terme au bain de sang et à l'image très négative de l'Islam" en "l'associant à la violence, qui ne parviendra à atteindre aucun objectif".

Mais les analystes estiment que ces dernières violences pourraient bien mettre un terme aux tentatives d'instaurer le dialogue.

"Je pense que l'enlèvement de ces ressortissants espagnols empêchera les efforts visant à procéder à un examen idéologique qu'avaient lancé certains salafistes emprisonnés", a expliqué Mohammed Ould Al Mustaf, écrivain et chercheur, à Magharebia. "Le gouvernement sera plus préoccupé par les questions liées à la sécurité que par le dialogue."

Un autre analyste, Khalil Ould Mohammed, a déclaré à Magharebia qu'après cet incident "douloureux", "le gouvernement ne fera plus confiance, au moins à court terme, aux promesses des salafistes de rejeter la violence et l'extrémisme".

"[Le gouvernement] s'attachera à combattre le terrorisme en employant des méthodes sécuritaires plus que le dialogue", a-t-il estimé. "Nous nous attendons donc à voir apparaître une nouvelle politique sécuritaire dont les caractéristiques seront tirées de cet enlèvement" des travailleurs humanitaires espagnols.

Nombreux sont les Mauritaniens à condamner ces enlèvements. Waled Ould Ahmed, un habitant de Nouadhibou, a expliqué à Magharebia que ces Espanols "étaient venus en Mauritanie pour aider les gens par un travail d'assistance humanitaire".

"Ils méritent appréciation et respect plutôt qu'enlèvement et torture", a-t-il déclaré. "J'ai été très peiné par cet acte étrange et contraire à toute morale."

Moi je trouve un peu fort que l'on nous dise que 3 jours apres les otages sont au nord du Mali
Pour la frontiere du Mali il y a 1100 km a vol d'oiseaux depuis le lieu du rapt
en traversant l'amatilch l'adrar et le tagant
sans etre reperé et gagner le nord du Mali
sont fortiches comme baroudeurs

xav1er a écrit:
sont fortiches comme baroudeurs

oui, tu ne les connais pas, ce sont ceux qui sont surnommés les "trabandistes"
terme purement algérien pour qualifier les contrebandiers,
lorsqu'il y a confrontation avec la gendarmerie algérienne, c'est rarement ces derniers qui ont le dernier mot
dans mes chauffeurs j'avais qqs types de la région de Timimoun et surtout Adrar ... qui n'étaient pas tristes
ils n'avaient pas leur pareil pour me faire passer mes 6x6 Iveco (frigo) au nez et à la barbe de l'armée ...

si je les avais écouté, ils seraient descendus au Sénégal avec des dates pour remonter avec des ananas
ils connaissaient toutes les pistes, nous sommes des "petits garçons" à coté,
eux sont bien les "Seigneurs du Désert" même si ce sont des bandits, islamistes ou pas

a propos dom' comme t'as vecu dans la region sahara
connais tu du coté de Touggourt un lieu nommé 75 km sud
Square Bresson du nom d'une place d'Alger
j'ai qq infos mais tes connaissances peuvent elles apporter qq eclaircissemenrs
merci

xav1er a écrit:a propos dom' comme t'as vecu dans la region sahara
connais tu du coté de Touggourt un lieu nommé 75 km sud
Square Bresson du nom d'une place d'Alger
j'ai qq infos mais tes connaissances peuvent elles apporter qq eclaircissemenrs
merci

je connais mal Touggourt, où je me suis rendu pas mal de fois, car c'est la fin de la ligne de chemin de fer
et j'avais à réceptionner parfois du fret ferroviaire pour mes américains,
je ne suis pratiquement jamais allé en ville qui ne présentait à première vue qu'un intérêt moindre,
mais qui surtout avait à mes yeux un gros inconvénient, foyer résiduel d'un "certain fondamentalisme"
mon camp de base (ma base-vie) était à Hassi-Messaoud, de là je rayonnais surtout sur le Sud pour mes obligations professionnelles
- jusqu'à Illizi pour le Sud-Est (et je connais aussi d l'autre coté de la frontière jusqu'à Ghat, j'ai "sévi" pendant 3 ans n Libye )
- jusqu'à In Salah à l'Est de Reggane
donc tout ce qui situe entre Hassi / In Salah / Illizi ... j'ai donné et redonné; routes / pistes ouvertes ou ... même fermées à la circulation
ce qui m'a parfois valu qqs déboires assez chauds avec l'armée Algérienne

j'ai trainé qqs fois en pays M'Zab, vers Ghardara .. pour des raisons idiotes, j'ai relevé de ce centre des impots pendant qqs mois, j'ai visité plusieurs la ville, superbe
parfois je m'échappais à Ouargla ... pour aller "chiner" des antiquités
mais en réalité, je n'ai jamais eu grand temps de faire du tourisme ... même (et surtout) si j'étais le DG ...

mais pose ta question, j'ai eu entendu, ou eu à connaitre tellement de péripéties ... que peut-être ??

en 57 il été construit un baby pipe de 6" pour amener le brut de Hi-Messaoud a Touggourt
pour etre chargé dans les wagons citernes a direction de Bone.
Sur le trajet du pipe a été construit 2 'gares' de maintenance ou a été entreposé les appareils necessaire a l'entretien
a environ 76 klm de toggourt a proximité d'un puits ctte gare aété nommée Square Bresson
nom qui figure encore sur les cartes Ign de la region
en allant Hi-Messaoud tu as du y passer devant a moins quelle ne se situe qu'apres le croissemnet vers Hi md
voila l'historique que j'ai pu reconstituer

xav1er a écrit:
en allant Hi-Messaoud tu as du y passer devant a moins quelle de se situe qu'apres le croissemnet ver Hi md
voila l'historique que j'ai pu reconstituer

je n'ai pas pu y passer, puisque en venant d'Hassi, je remontais pour aller à Touggourt, et que la ligne elle n'allait pas plus loin que Touggourt vers le Sud, et
je ne suis jamais remonté au delà, du moins par la route, suivant ma carte ce point devait se situer vers Djamaa, que je ne connais pas, désolé

Alors ces deux là si ils partent en voyage y vont pas être couchés tôt .... les histoires de "Chibani"

domayeux a écrit:

xav1er a écrit:
en allant Hi-Messaoud tu as du y passer devant a moins quelle de se situe qu'apres le croissemnet ver Hi md
voila l'historique que j'ai pu reconstituer

je n'ai pas pu y passer, puisque en venant d'Hassi, je remontais pour aller à Touggourt, et que la ligne elle n'allait pas plus loin que Touggourt vers le Sud, et
je ne suis jamais remonté au delà, du moins par la route, suivant ma carte ce point devait se situer vers Djamaa, que je ne connais pas, désolé

une petite carte pour te rafraichir la memoire

Y'a du ménage en Mauritanie

Africa N°1, Nouakchott. Toujours pas de signe crédible sur l'endroit où se trouveraient les humanitaires enlevés dimanche dernier entre Nouadhibou et Nouakchott par des hommes armés, cagoulés. Une semaine aprés le kidnapping, les opérations de recherche tous azimut lancées par l'armée mauritanienne n'ont rien donné jusqu'à ce jour.

Mais le rapt des ressortissants espagnols, a semble-t-il amené le général à prendre une décision difficile en limogeant le chef d'etat-major de la gendarmerie Ahmed ould Bekrine, un autre général. Connu pour son intégrité morale, le général ould Bekrine, a fait partie de la junte militaire qui avait renversé l'ancien president ould Cheikh Abdallahi, le 6 aout 2008.

En d'autre terme, il etait plutot présenté comme l'un des fidéles du president mauritanien. Cela dit, l'enlevement des espagnols fait la une des journaux et sites d'informations tout comme la poursuite de la campagne de moralisation de la gestion de biens publics avec, l'inculpation des anciens gouverneurs de la banque centrale de Mauritanie

pas de nouvelles
pour info
http://www.rewmi.com/Al-Qaida-fait-son-nid-au-Sahel_a20022.html

D'autres infos via "CRIDEM"

Le quotidien algérien El Khabar, généralement bien informé sur les affaires de sécurité, vient de donner sa propre version de l’enlèvement des humanitaires espagnoles sur la route Nouadhibou Nouakchott.

Dans son édition d’hier, le journal affirme qu’un haut responsable algérien en rapport avec le dossier du rapt des espagnoles avait affirmé que l’armée mauritanienne était sur le point de libérer les otages par une opération militaire mais qu’elle y a renoncé au dernier moment face à la menace des terroristes d’exécuter les otages et sous la pression de Madrid.

Cette source aurait affirmé au journal qu’un guide sahraoui avait mené l’armée mauritanienne sur les traces des ravisseurs qui étaient à bord de trois véhicules 4X4 le soir du lundi 30 Novembre dans un lieu désertique situé entre Atar et Tidjikja.



Cependant l’absence d’un appui aérien notamment d’hélicoptères de combats a rendu l’intervention extrêmement difficile surtout que les véhicules des terroristes se déplaçaient extrêmement vite et ont à plusieurs reprises changé de direction. Les militaires mauritaniens auraient eu un contact radio avec les ravisseurs qui leur ont affirmé que toute tentative d’usage de la force se traduirait immédiatement par l’exécution des otages.

Dans la foulée les autorités espagnoles ont-elles aussi signifié que toute opération militaire devait être soigneusement planifiée et exécutée de préférence par des forces spéciales occidentales entraînées sur ce type d’interventions. Toujours selon cette source sécuritaire algérienne, l’armée mauritanienne aurait perdu les traces des ravisseurs depuis les mardi matin dans cette zone qui se situe à plus de 500 kilomètres au Nord Est de Nouakchott. Bien évidemment une opération militaire pour libérer les otages n’est pas encore totalement exclue mais elle demande une préparation rigoureuse.

Dix cellules dormantes.

Les mêmes sources ont exclu que des étrangers ou des bandits de grands chemins aient été utilisés comme « sous traitants » dans cette opération en raguant que toutes les opérations qui se sont déroulées jusqu’à présent ont été exécutées par des mauritaniens et que certains rapports de renseignement font état de l’existence de pas moins de dix cellules dormantes terroristes en Mauritanie. Et que à cause du cloisonnement de ces entités, la sécurité mauritanienne n’est pas encore arrivée à les démanteler.

Les mêmes renseignements soulignent que la police mauritanienne recherche activement les chefs d’AQMI pour la Mauritanie qui est un salafiste takfariste qui vit dans la clandestinité et dont certaines communications par Internet avaient été interceptées en janvier dernier. On a plus eu de nouvelles.

Selon les algériens l’opération d’enlèvement aurait été directement planifiée par le chef de la région sud d’AQMI, Yahya Jouadi et non comme l’ont affirmé des journaux espagnoles par des proches de Mokhtar Bel Mokhtar dit Belaouar l’Emir de la Qatiba des Moulethemines. Selon le journal, la sécurité militaire algérienne essaye de convaincre Belaouar qui a quasiment signé un armistice avec eux, à utiliser ses rapports étroits avec les salafistes mauritaniens pour booster les pourparlers en vue d’obtenir la libération des otages.

Et selon la même source les algériens sont déjà impliqués dans ces pourparlers à travers l’activation de certains de leurs canaux utilisant les tribus comme les Kounta et les Awlad Sidi Cheikh ainsi que d’anciens contrebandiers du nord du Mali et du Niger pour obtenir la libération des trois espagnoles et du français enlevé dans la ville de Menaka, au mains des islamistes.

Camouflet.

Par ailleurs l’enlèvement des humanitaires espagnoles sur la route Nouadhibou Nouakchott sonne pour certain comme un camouflet pour l’armée mauritanienne qui quelques semaines auparavant avait affirmé que la sécurité est assurée en Mauritanie. L’état-major de l’armée nationale avait tenté de démontrer cette affirmation lorsque, fin de novembre dernier il avait pour la première fois, décidé de communiquer sur le nouveau dispositif de sécurité et les méthodes de lutte anti-terroriste mis en place par les nouvelles autorités du pays.

Après l’enlèvement, certains observateurs n’ont pas manqué de railler cette opération de charme qui vient ainsi de tourner court en montrant que le dispositif est en fait une véritable passoire. Pour reprendre le contrôle du désert, l’Etat major avait crée avec l’appui de Paris, 3 GSI (Groupement spécial d’intervention), des unités mobiles de type sahariennes. Avec des pick-up équipés de mitrailleuses lourdes et de lance-roquettes, les soldats assurent quadriller une zone de 550 km de long sur 220 km de large, entre la ville de Ouadane et la frontière malienne.

Les chauffeurs apprennent à maîtriser la conduite dans les dunes. Le point fort de ces unités, c’est donc avant tout la connaissance du terrain. Pas besoin de GPS pour ces soldats. Deux couloirs d’infiltration sont particulièrement surveillés: au nord par Ouadane, au sud par Lemreyé.

Le long de ces axes, le GSI traque les terroristes, mais aussi les trafics en tous genres : drogue, armes, carburant et même immigrés clandestins. Pour plus d’efficacité, les GSI avaient adopté une stratégie de proximité avec les nomades pour la fourniture de renseignements sur les mouvements dans la région. Un programme de soutien a été mis en place à leur intention, tel l’accès à l’eau, des soins médicaux, achat de leur bétail etc.

Depuis quatre ans, l’AQMI, (Al Qaida au Maghreb Islamique) a multiplié les attaques en particulier au nord-est du pays. Le 4 juin 2005, la Mauritanie découvre avec stupeur qu’elle n’est pas épargnée par le terrorisme : pour la première fois, son armée est directement visée. Une centaine de terroristes attaquent une caserne militaire dans la région de Lemgheity. Bilan : 21 morts.

Les États-Unis comptaient sur la Mauritanie pour faire barrage à la progression du terrorisme dans le Sahel saharien. Aussi, deux jours à peine après ce premier attentat, les Américains lancent l’opération “Flintlock” (Mousquet), des manœuvres planifiées dans le cadre du programme Africom, installer une base américaine dans la région au motif d’aider les pays d’Afrique à lutter contre le terrorisme. Depuis 2002 déjà, les États-Unis finançaient un programme baptisé PSI (Pan Sahel Initiative) visant à renforcer la sécurité des frontières mauritaniennes, mais aussi du Mali, du Niger, et du Tchad. Le 27 décembre 2007, les terroristes frappent une deuxième fois.

Trois soldats mauritaniens sont tués dans la région de Ghalaouiya, le 1er février 2008, c’est l’ambassade israélienne à Nouakchott qui est visée pour la première fois depuis l‘établissement de relations diplomatiques entre la Mauritanie et l’État hébreu, en 1999. Le 16 septembre 2008, un bataillon militaire mauritanien tombe dans une embuscade tendue par un groupe terroriste dans la région de Tourine, 12 soldats sont retrouvés décapités. Depuis la Mauritanie essaie désespérément de sortir de cette spirale de violence dans laquelle elle est entraînée malgré elle par la nébuleuse islamiste d’AlQaida

CONFIRMATION DE LA REVENDIQUATION

http://fr.news.yahoo.com/63/20091208/tfr-al-qada-revendique-l-enlvement-d-un-019dcf9.html

xav1er a écrit:une petite carte pour te rafraichir la memoire

maintenant je comprends
hé bien .... je ne suis JAMAIS passé par là.... car cette "bretelle" dessert "Ouargla à Touggourt", et moi, j'ai tjrs fait soit
- Hassi ==> Touggourt ==> Hassi
- Hassi ==> Ouargla ==> Hassi
mais jamais Hassi ==> Touggourt ==> Ouargle ==> Hassi ... CQFD comme disait mon prof de math

et ce n'est pas faute d'avoir "tourné" un peu partout, mais plus au Sud et à l'Est, mais jamais sur ce bout de route
et je n'ai jamais entendu quoi que ce soit à ce propos ... désolé

Deniere avancée des autorités mauritaniennes vis avis des organisations
touristiques en RIM
Le gouvernement mauritanien a donné toutes les assurances quant à la sécurité des randonnées.
Les déplacements touristiques seront encadrés par des militaires équipés de balises.
Les campements et bivouacs se feront à proximité des brigades.
Les guides recevront de leur côté une formation adéquate pour être des auxiliaires de l’armée.

xav1er a écrit:Deniere avancée des autorités mauritaniennes vis avis des organisations
touristiques en RIM
Le gouvernement mauritanien a donné toutes les assurances quant à la sécurité des randonnées.
Les déplacements touristiques seront encadrés par des militaires équipés de balises.
Les campements et bivouacs se feront à proximité des brigades.
Les guides recevront de leur côté une formation adéquate pour être des auxiliaires de l’armée.

Salut Xav ou as tu eu ces infos stp

Bisous chez toi